Un coup de maître
Le cœur de cette famille française bat Rue-de-Grenelle à Paris et Mère-Grand donne le rythme. C’est un cocon, un espace de liberté, un lieu de tous les possibles, un refuge. C’est aussi un véritable carcan… La famille est terriblement attachante (et attachée), folle, bordélique et définitivement géniale. Certaines pages sont de toute beauté, d’autres joyeuses, le tout est sensible et plein de vie. Ce premier roman est un véritable coup de maître.
Un coup de maître
Le cœur de cette famille française bat Rue-de-Grenelle à Paris et Mère-Grand donne le rythme. C’est un cocon, un espace de liberté, un lieu de tous les possibles, un refuge. C’est aussi un véritable carcan… La famille est terriblement attachante (et attachée), folle, bordélique et définitivement géniale. Certaines pages sont de toute beauté, d’autres joyeuses, le tout est sensible et plein de vie. Ce premier roman est un véritable coup de maître.
Remarquable, érudit, rythmé
Ames sensibles s’abstenir, mais les amateurs d’histoire ne peuvent qu’aimer ce livre tant il nous entraîne au cœur d’un Paris déchaîné par la haine et le massacre des Huguenots et compagnons d’Henri de Navarre (la Saint-Barthélemy).
C’est remarquable, érudit, rythmé et Tim Willocks restitue magistralement le tourbillon dans lequel le peuple se retrouve embarqué, où chacun est confronté à ses propres démons et sa propre violence.
Fiévreux, furieux et exalté, on ne peut s’empêcher de penser à La reine Margot de Chéreau.
Remarquable, érudit, rythmé
Ames sensibles s’abstenir, mais les amateurs d’histoire ne peuvent qu’aimer ce livre tant il nous entraîne au cœur d’un Paris déchaîné par la haine et le massacre des Huguenots et compagnons d’Henri de Navarre (la Saint-Barthélemy).
C’est remarquable, érudit, rythmé et Tim Willocks restitue magistralement le tourbillon dans lequel le peuple se retrouve embarqué, où chacun est confronté à ses propres démons et sa propre violence.
Fiévreux, furieux et exalté, on ne peut s’empêcher de penser à "La reine Margot" de Chéreau.
Tous les mois, Clarisse rend visite secrètement à sa mère Ladivine (Ladivine, c’est aussi le prénom de la fille de Clarisse). Drôle de rituel que cette mère et sa fille ont instauré…
Comme toujours avec Marie NDiaye, les apparences peuvent tromper, la vie est parfois cruelle, c’est mystérieux, puissant et très singulier. Acceptez de vous laisser mener par le bout du nez et laissez-vous porter par l’écriture unique de Marie Ndiaye.