- EAN13
- 9782262040130
- ISBN
- 978-2-262-04013-0
- Éditeur
- Tempus Perrin
- Date de publication
- 10/2012
- Collection
- Tempus (472)
- Nombre de pages
- 408
- Dimensions
- 17,8 x 10,9 x 1,8 cm
- Poids
- 280 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 949.304092
- Fiches UNIMARC
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La seule biographie de la reine Astrid, figure centrale de la royauté belge . Son destin tragique a fait d'elle un mythe.
29 août 1935, en fin d'après-midi, la nouvelle tombe, consternante : Astrid, la jeune épouse du roi des Belges Léopold III, vient de trouver la mort dans un accident de voiture. Elle laisse trois orphelins, Joséphine-Charlotte, les futurs rois Baudouin et Albert et une opinion éplorée. Tous adoraient cette princesse dont le charme naturel et la simplicité souriante avaient conquis le monde. Le temps a passé, mais son souvenir ne s'est pas éteint. Sa grâce, sa gentillesse, sa disponibilité occupent toujours une place à part dans les mémoires. C'est que la reine Astrid fut pour la Belgique et pour l'Europe des années 1930 ce qu'incarna John Kennedy pour les Etats-Unis des années 1960 : le mythe du bonheur perdu. Par ces temps de crise, la nostalgie le rend d'une singulière actualité.
Normalien, agrégé d'histoire et ancien élève de l'ENA, Pascal Dayez-Burgeon est directeur adjoint de l'Institut des sciences de la communication du CNRS. Il a notamment publié Belgique-Nederland-Luxembourg et La fortune des rois.
29 août 1935, en fin d'après-midi, la nouvelle tombe, consternante : Astrid, la jeune épouse du roi des Belges Léopold III, vient de trouver la mort dans un accident de voiture. Elle laisse trois orphelins, Joséphine-Charlotte, les futurs rois Baudouin et Albert et une opinion éplorée. Tous adoraient cette princesse dont le charme naturel et la simplicité souriante avaient conquis le monde. Le temps a passé, mais son souvenir ne s'est pas éteint. Sa grâce, sa gentillesse, sa disponibilité occupent toujours une place à part dans les mémoires. C'est que la reine Astrid fut pour la Belgique et pour l'Europe des années 1930 ce qu'incarna John Kennedy pour les Etats-Unis des années 1960 : le mythe du bonheur perdu. Par ces temps de crise, la nostalgie le rend d'une singulière actualité.
Normalien, agrégé d'histoire et ancien élève de l'ENA, Pascal Dayez-Burgeon est directeur adjoint de l'Institut des sciences de la communication du CNRS. Il a notamment publié Belgique-Nederland-Luxembourg et La fortune des rois.
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