- EAN13
- 9782390291350
- ISBN
- 978-2-39029-135-0
- Éditeur
- Presses universitaires de Namur
- Date de publication
- 28/06/2021
- Collection
- Tactiques
- Nombre de pages
- 400
- Dimensions
- 22,5 x 16,5 cm
- Poids
- 614 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Enseigner la langue française dans le secondaire supérieur pour développer des compétences de littératie
Christine Bister, Jean-Louis Dumortier
Presses universitaires de Namur
Tactiques
Offres
L' amélioration du savoir-lire et du savoir-écrire des élèves dépend en grande
partie de leur capacité d’examiner les textes et de juger de leur valeur en
prenant comme critère leur vertu de réaliser l’intention de l’auteur. On
développe cette capacité en leur demandant de mettre en oeuvre des
connaissances relatives à la langue et à ses usages pour répondre à des
questions comme: «Est-ce (assez) bien comme ça?» ou «Ne serait-ce pas mieux
ainsi?» Encore faut-il que les savoirs langagiers soient enseignés dans la
perspective du développement de compétences de communication et qu’ils
permettent d’envisager des énoncés d’une dimension supérieure à celle de la
phrase.
C’est à l’enseignement et à l’utilisation de ces savoirs-là qu’est consacré
notre ouvrage, dont la plus grosse partie est constituée de propositions
d’activités assorties de corrigés. Au sortir du tronc commun de formation, il
n’est pas trop tard pour faire découvrir aux élèves que ce qu’ils ont appris –
et quelques savoirs nouveaux – peut s’appliquer dans le cadre des activités de
compréhension et de production d’écrits.
La plupart de ceux que nous proposons ont pour sujet la langue française.
Cette dernière n’est malheureusement pas considérée par chacun comme un outil
au service de ses besoins de communication. Mais elle peut devenir cet outil à
la condition d’un enseignement d’une grammaire qui dote chacun de la capacité
de se distancier de ce qu’il dit comme de ce qui se dit pour en discuter la
valeur relative.
partie de leur capacité d’examiner les textes et de juger de leur valeur en
prenant comme critère leur vertu de réaliser l’intention de l’auteur. On
développe cette capacité en leur demandant de mettre en oeuvre des
connaissances relatives à la langue et à ses usages pour répondre à des
questions comme: «Est-ce (assez) bien comme ça?» ou «Ne serait-ce pas mieux
ainsi?» Encore faut-il que les savoirs langagiers soient enseignés dans la
perspective du développement de compétences de communication et qu’ils
permettent d’envisager des énoncés d’une dimension supérieure à celle de la
phrase.
C’est à l’enseignement et à l’utilisation de ces savoirs-là qu’est consacré
notre ouvrage, dont la plus grosse partie est constituée de propositions
d’activités assorties de corrigés. Au sortir du tronc commun de formation, il
n’est pas trop tard pour faire découvrir aux élèves que ce qu’ils ont appris –
et quelques savoirs nouveaux – peut s’appliquer dans le cadre des activités de
compréhension et de production d’écrits.
La plupart de ceux que nous proposons ont pour sujet la langue française.
Cette dernière n’est malheureusement pas considérée par chacun comme un outil
au service de ses besoins de communication. Mais elle peut devenir cet outil à
la condition d’un enseignement d’une grammaire qui dote chacun de la capacité
de se distancier de ce qu’il dit comme de ce qui se dit pour en discuter la
valeur relative.
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