- EAN13
- 9791093661391
- ISBN
- 979-10-93661-39-1
- Éditeur
- MEMORING ED
- Date de publication
- 02/06/2023
- Collection
- FIGURES NA (1)
- Nombre de pages
- 146
- Dimensions
- 18 x 12 x 1 cm
- Poids
- 140 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Quelle vie extraordinaire que celle de Nicolas Baudin ! Marin, naturaliste, explorateur, dessinateur, scientifique, il sert en France, en Autriche, découvre des espèces inconnues, ramène en France le mimosa, le clou de girofle et la plupart des collections du Muséum d’histoire naturelle en 1800. Et pourtant, il est en France quasi oublié.
Issu d’une famille d’armateurs rhétaise, il navigue au commerce, se bat en Amérique pendant la guerre d’Indépendance avant d’offrir ses services à la Marine autrichienne qui fait de lui un capitaine de vaisseau. De retour en France, il embarque sur la Belle Angélique pour un voyage de collecte d’échantillons botaniques, et se couvre de gloire en ramenant au bout de deux ans des milliers de spécimens, souvent inconnus : arbres, animaux, oiseaux, fleurs, arbustes ! Les collections du Muséum d’Histoire naturelle sont les siennes. Après un court passage dans l’état-major de Bruix qui l’emmène dans l’expédition de secours de Malte en 1800, il emmène vingt-deux scientifiques sur deux corvettes, le Naturaliste et le Géographe, pour ce qui sera son dernier voyage : l’exploration des côtes de la Nouvelle-Hollande, nom encore donné à l’Australie. La postérité retient de Baudin son ambition considérée comme démesurée, ses rapports difficiles avec ses subordonnés, son exceptionnel talent de marin, de cartographe et de naturaliste.
Il est considéré en Australie comme un scientifique et un marin exceptionnel ayant contribué à faire connaître ce continent, sa faune, sa flore et sa population, avec un véritable objectif scientifique.
Issu d’une famille d’armateurs rhétaise, il navigue au commerce, se bat en Amérique pendant la guerre d’Indépendance avant d’offrir ses services à la Marine autrichienne qui fait de lui un capitaine de vaisseau. De retour en France, il embarque sur la Belle Angélique pour un voyage de collecte d’échantillons botaniques, et se couvre de gloire en ramenant au bout de deux ans des milliers de spécimens, souvent inconnus : arbres, animaux, oiseaux, fleurs, arbustes ! Les collections du Muséum d’Histoire naturelle sont les siennes. Après un court passage dans l’état-major de Bruix qui l’emmène dans l’expédition de secours de Malte en 1800, il emmène vingt-deux scientifiques sur deux corvettes, le Naturaliste et le Géographe, pour ce qui sera son dernier voyage : l’exploration des côtes de la Nouvelle-Hollande, nom encore donné à l’Australie. La postérité retient de Baudin son ambition considérée comme démesurée, ses rapports difficiles avec ses subordonnés, son exceptionnel talent de marin, de cartographe et de naturaliste.
Il est considéré en Australie comme un scientifique et un marin exceptionnel ayant contribué à faire connaître ce continent, sa faune, sa flore et sa population, avec un véritable objectif scientifique.
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